Bonsoir,
J'écris ici car je suis un peu au bord du désespoir. Il y a quelques temps j'ai posté un sujet concernant un possible abcès de mon lapin (selon, l'avis, du premier vétérinaire). Par la suite, j'ai rencontré un deuxième vétérinaire et selon lui, il s'agissait d'une plaie et non, d'un abcès. Bref, tant mieux, j'étais -un peu- soulagée. Sauf que, deux mois plus tard, le problème est toujours présent. Durant chaque traitement, je ne peux que remarquer une amélioration au niveau de la plaie, mais lorsque le traitement est terminé, le problème resurgit, encore une fois. Trois cent dollars plus tard, il n'est toujours pas soigné. Le problème, ce n'est pas l'argent que je dois débourser. Je pourrais débourser tout l'or du monde, pour lui. Le problème ce n'est pas que je dois faire une heure de route pour aller à ce centre spécifiquement. Je pourrais le faire sans problème si j'avais la certitude qu'il serait guéri. Mais, deux mois plus tard, il n'est toujours pas soigné et j'ai quelques doutes. Maintenant, selon le vétérinaire, il pourrait être question d'un problème lié à la peau et il devrait voir un dermatologue.
Le problème est que le dermatologue est au centre jusqu'à 17 heures maximum et que moi, avec les cours et le trafic, je ne peux pas arriver à temps. La solution du vétérinaire était de prendre rendez-vous, qu'il prendrait une photo afin de le montrer au dermatologue et de revenir pour connaître l'avis de ce dernier. Mais, moi, je préférerai que le dermatologue voit la plaie de mon lapin et non une photo. Alors, je suis venue à la conclusion que je devrais peut-être changer de vétérinaire et trouver un centre plus près de chez moi. Aurais-je raison de le faire ou suis-je trop précipitée ? Et puis, est-ce que votre lapin a déjà eu une plaie et combien de temps a-t-elle prit pour guérir ? 
Le problème est que j'ai l'impression que la distance est en train d'empêcher mon lapin de guérir, convenablement. Autrement, j'aurai pu rencontrer le dermatologue aujourd'hui, mais je ne peux manquer mes cours au risque d'une exclusion et je dois compter sur mon père pour aller jusqu'à là-bas. 
