déjà, je te le redis : tu es une bonne maitresse, ne t'inquiète pas là dessus.
Je vais rebondir sur ce que tu dis à propos des méthodes éducative.
J'espère que ce que je vais écrire ne va pas être mal pris ni faire donneuse de leçon.
Je vais rebondir sur ce que tu dis sur les chevaux (mon domaine, je me forme d'ailleurs en éthologie (la vraie, celle qui étude le comportement de l'animal dans son milieu naturelle) et surtout en équifeel (on va dire l'éthologie appliquée à l'équitation). La méthode éducative que tu employais alors, qui est très courant, est mauvaise. Elle te positionne en tant que prédateur et le cheval proie au lieu de te mettre dans une position de leader/ proposant /acceptant.
Dans la nature, un cheval pénible est rejeté du groupe. Le rejeter du groupe, c'est l'isoler le mettre à l'écart. C'est la méthode qu'emploi la jument dominante du groupe pour éduquer les poulains dès leur plus jeunes âges.
Avant de l'évincer, les adultes donnent des signes au poulain /cheval pénible comme quoi il va trop loin : regard, attitude général, fouaillement de la queue, oreille baissée puis couchée. Si ca ne suffit pas, ben il font signe de vouloir mordre ou taper mais le font rarement en vrai, en général c'est dans le vide, le groupe n'a pas d'intérêt de blesser l'un des siens. Après, s'il ne comprend pas, là oui, il prend un coup.
Mais à aucun moment le coup n'est donné d'office, il y a toujours des signes donnés avant que nous humain ne percevons pas toujours.
Quand le cheval est à nos côté, il essaie d'employer cette même communication avec nous. Mais nous ne voyons pas le signe et nous nous plaçons souvent dans un rapport dominant/dominer.
Avant de nous mordre, le cheval a souvent donné un signe qu'il va le faire car il y a quelque chose qui le dérange, mais on ne vois pas, et bigne, on prend le coup. Je ne dis pas que le cheval doit mordre et que c'est notre faute, etc, juste que souvent, on a pas pris le temps de désamorcer le truc avant qu'il n'arrive. Surtotu avec les chevaux de club qui sont blasés, qui en ont marres de donner des signes que ca va pas et qui ne sont pas compris et qui du coup, passent quasiment de suite au coup de dent qu'on comprend.
Quant au fait de le mordre quand il mord, il a été prouver que ca ne sert à rien. Mais ca soulage le cavalier et puis, effectivement le chevval s'arrête de mordre car il craint son cavalier qui montre les crocs et c'est un message qu'il reçoit. Donc oui, c'est une méthode éducative qui marche, mais on obtient le respect par la crainte.
Pour côtoyer chevaux (j'ai ai 10 chez moii au pré en groupe) et lapin (j'ai 7 llapins adultes), je fais souvent le parallèle entre eux car il y a beaucoup d esimilitude.
Pour les lapins qui grattent, mordent, etc, souvent, c'est qu'on a céder devant leur petite boule de poil quand il était bébé. On les a souvent laisser faire un tout petit peu car ce n'est pas bien méchant et on donne souvent trop de friandise ou caresse à des moments où il ne faudrait pas. On ose pas repousser nos lapins. Pourtant, c'est à mon avis ce qu'il faudrait faire, comme le fait les lapins entre eux dans une garenne quand l'un d'eux adopte un comportement pénible. Du coup, c'est souvent de par notre comportement (mais on fait pas exprès, c'est juste qu'on ne sait pas) qu'on ancre chez notre lapin les habitudes comme réclamer, mordiller, gratter et tous ces signes qu'il adopte pour qu'on s'occupe de lui.
Mes ce n'est que mon avis, qui vaut ce u'il vaut, je ne suis pas experte.
Je sais qu'en méthode éducative, il y a plusieurs courant chez l'humain aussi. Je pense que tu dois étudier ceci et mieux connaître le truc que moi.
Il y a ceux qui pensent qu'il faut mordre l'enfant en bas âge quand il nous mord car il n'y a que comme ça qu'il comprend qu'il fait mal. De même qu'à une certaine période, 2-3 ans, la fessée est inévitable pour faire comprendre les choses car l'enfant va trop loin.
Et d'autre qui pensent qu'en faisant ainsi, en mordant qu'en l'enfant mord (o, c'est un exemple extrème), en lui donnant une petite tape sur les main, une gifle, une fessée, on lui montrer que c'est une réponse appropriée entre les homes puisque nous, adultes, et donc référant de l'enfant, nous le faisons nous même.